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Voir aussi l'article de la Revue AE&S "Evolution des techniques d'implantation" par Christine Leclercq et Vincent Corfdir

 


19 octobre 2017 à Mouchy le Chatel (Oise) au sud de Beauvais

 

Des plantes compagnes au couvert permanent : enjeux, intérêts et limites


Merci à Christine Leclercq (Unilassalle), Joël Cottart (agriculteur retraité), Luc Vandeputte (Agora)qui ont co-organisé cet atelier pour l’Afa.

Des agronomes de différents horizons ont partagé leur expérience : François Peaucellier  (agriculteur) qui pratique le semis direct depuis 15 ans dans l’Oise (notamment en betterave), Luc Vandeputte d’Agora, Arnaud Van Boxsom de Terres Inovia, Jérôme Labreuche d’Arvalis, Hubert Boizard de l’Inra, Romain Crignon d’Agro Transfert Ressources et Territoires, Claire Turillon d'Agro Transfert.

 

Merci aux étudiants actifs de Unilasalle, à la Maison familiale rurale de Saint Sulpice et au restaurateur "les petits poêlons dans les grands" de Beauvais.

Reportage photos (en bas de page) réalisé par Danielle Lanquetuit pour l'Afa.

Cet atelier initie des  échanges sur l’intérêt de ces nouvelles pratiques, leurs risques et conditions, l’effet de différents choix techniques et la variabilité des résultats.

 

Le principal objectif était d’échanger sur les nouvelles pratiques agricoles - notamment les cultures associées à des plantes compagnes et le semis direct sous couvert - et les questions qu’elles posent à l’agronomie. L’atelier terrain pour objectif de faire se rencontrer des agronomes de différents métiers (agriculteurs, conseillers, enseignants, chercheurs, etc.) pour avancer conjointement dans la compréhension et la résolution de questions locales, sur la base d’une mutualisation de questionnements et de connaissances.

 

L’association avec des plantes compagnes vise une économie d’azote et une meilleure maîtrise des bioagresseurs et le semis direct sous couvert, un gain de temps et de carburant, une meilleure structure du sol et une protection contre l’érosion, une meilleure rétention en eau, l’augmentation du stockage de carbone...

 

La mise en œuvre de ces pratiques suppose de lever certaines contraintes et apparaît plus ou moins faisable selon les cultures (betterave par exemple).

 

Ces pratiques posent de nouveaux problèmes (questions) à l’agriculteur et à l’agronomie : semis, contrôle des adventices et des ravageurs, gestion de l’azote … et nécessitent des adaptations locales (choix des espèces, techniques d’implantation, date de semis, fertilisation, rotations) voire des années de tâtonnements lorsqu’un nouveau fonctionnement de l’agrosystème s’établit sur le long terme.